• Ma grand-mère me racontait parfois un conte à faire peur où il était question d'une Dame blanche et d'une Dame noire... Notre Auvergne recèle des contes dont Henri Pourrat en est l'illustre relayeur...

     

    On dit de cette Dame Blanche était vue à plusieurs endroits précis et avait l'apparence d'une femme vêtue de blanc portant un châle qui cacherait son visage .

    Il existe plusieurs versions des apparitions de la dame blanche.

    La plus connue étant celle de l'automobiliste.

    On dit que la dame blanche est une auto-stoppeuse. Si vous la prenez, elle vous prévient juste de faire attention juste avant un virage et disparaît mystérieusement après le virage.

    Par contre, si vous la laissez en plan, vous provoquez un accident fatal dans le virage.   

     


     

    (Source de la photo : http://www.google.fr/imgres?imgurl=http%3A%2F%2Fs3.e-monsite.com)

    On parle aussi des fades en Auvergne. 

    "Presque tous les tumulus et dolmens d’Auvergne sont réputés comme des points de ralliement pour les fades. Il y a deux cents ans, personne ne se fût avisé de douter de la puissance des êtres surnaturels venant voltiger la nuit. » (Source : l'historien auvergnat Ribier du Châtelet)

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     Château de Tournoël 

      

      (Château de Tournoël - Volvic) 

          

      

    Voici un site qui recense les châteaux d'Auvergne et les évènements qui y sont liés :

    http://www.routes-historiques.com/fiche-route-des-chateaux-dauvergne-5.html

     

     

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    Voici le lien de leur site :  http://www.coq-noir.fr/

      

     La jasserie (date de 1880)

     

    Ils proposent  entre autres un festival estival :

    http://www.coq-noir.fr/coqnoirsaisonculturelle.html

    et des minis camps pour les enfants

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  • Les valeurs de la Résistance au Musée Mont-Mouchet

     

    Les valeurs de la Résistance au Musée Mont-Mouchet

     

    Au Mont-Mouchet en Haute-Loire, le musée de la Résistance retrace des jours terribles où, pourtant, devait dominer l’espoir.

     

    Dans une clairière d’Auvers en Haute-Loire, un monument national à la Résistances et aux Maquis de France signale que des Résistants se sont battus ici de façon héroïque, il y a 70 ans. On y trouve également un musée. Il retrace, au travers de l’histoire de deux jeunes maquisards, les combats qui se déroulèrent en Margeride et en Auvergne à la veille de la Libération, au printemps 1944.

    « Nous ne sommes pas devant n’importe quelle clairière où se seraient déroulés des faits de Résistance », estime Françoise Fernandez, une historienne qui connaît bien l’histoire de ce lieu et qui a assuré une mission de conseiller scientifique pour le musée.

    A l’ombre du monument dont la statue représente deux figures symboliques du maquis – un homme équipé et entraîné pour la lutte armée et un civil, en sabots, qui l’a rejoint – elle commente la nouvelle scénographie du musée, suite à son réaménagement. « Le musée retrace ces jours terribles où pourtant devait dominer l’espoir. Il décrit l’existence des « petites mains » de la Résistance, des gens ordinaires amenés par les événements à dépasser la peur. »

    La Résistance au féminin

    « La muséographie est faite pour des personnes pour lesquelles ces événements seront de plus en plus de l’histoire ancienne », note l’historienne. « Pour les jeunes, on a réécrit l’histoire de Pierrot et Lucien, inspirée par les personnages du monument, à partir d’anecdotes authentiques que nous ont racontées les acteurs de la période, et des archives. Nous avons voulu créer un musée de société, où les gens voient ce qu’était un vélo à l’époque, une radio, ou même une machine à coudre Singer.

    Auparavant, les hommes racontaient l’aspect militaire de la Résistance. Les femmes n’y avaient pas beaucoup de place. Pourtant les agent(e)s de liaison, les postières, les infirmières et j’en passe, tinrent une place que l’on mesure mieux aujourd’hui et pour laquelle, parfois, elles connurent la torture, la déportation, la mort au même titre que leurs frères de combat. »

    Des documents témoins

    Les visiteurs trouveront ici des documents étonnants, comme cette photographie prise à Vichy de l’enterrement de GMR (Groupes mobiles de Réserve), unités paramilitaires créées par le gouvernement de Vichy. Au premier rang se tiennent des officiers allemands et derrière eux, des officiers français : toute la collaboration militaire et policière illustrée en un raccourci saisissant…

    On distingue une croix gammée sur le Grand Hôtel de la place de Jaude, à Clermont-Ferrand en 1943. « On ne peut pas dire que la présence des Allemands à Clermont-Ferrand était discrète » fait remarquer l’historienne. Au fil des vitrines, des objets ordinaires, riches de sens et d’émotion aujourd’hui : le bulletin de paie d’un milicien, qui montre qu'il gagnait quatre fois le salaire d’un instituteur, une note du Préfet demandant de procéder au « ramassage » des Juifs étrangers, la lettre d’un condamné à mort à sa famille, ici une étoile jaune et des vêtements de déportés, et là le sac à dos d’un maquisard…

    Des valeurs toujours d’actualité

    « On vise les descendants directs des combattants de cette époque mais la majorité sont des ados pour lesquels c’est de l’histoire très ancienne », résume Françoise Fernandez. « Nous voulons leur montrer qu’il y a là des valeurs toujours d’actualité. Qu’un régime d’exclusion quels que soient ses motifs est insupportable et que l’on est responsable de ce que l’on n’empêche pas. Les jeunes sont très intéressés par cette période parce qu’elle témoigne de modèles positifs, de héros ordinaires quelles que soient leurs croyances, leurs convictions politiques, des exemples comme le Juste, qui sauve des vies au péril de la sienne. Elle parle de l’engagement que l’on peut prendre au-delà de son petit égoïsme personnel. »

    Musée de la Résistance, Le Mont-Mouchet, 43300 Auvers

    Ouvert de mai à septembre de 10 h à 12 h 30 et de 14 h à 18 h tous les jours (sauf les lundis de mai, juin et septembre).

    Tél. 04 71 74 11 91. (Source : http://www.auvergne.fr/article/resistance-musee-mont-mouchet)

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    Et Pourquoi Pas ? a été fondée en septembre 2008.

    L’association a pour objet de sensibiliser à un usage respectueux de la nature et de solliciter la créativité de chacun dans son quotidien. L’agroécologie est au coeur de son action.

    Dans ce cadre, elle organise stages, ateliers, chantiers solidaires, rencontres... pour permettre échanges de savoirs et sensibilisation à la recherche d’un bien-être sobre.

    Elle propose une sensibilisation aux pratiques du jardin naturel, une approche de la permaculture, la découverte de l’habitat écologique et des économies d’énergie.

    Elle propose également des activités autour des plantes sauvages, de la création artistique.

    La plupart des activités proposées s’y déroulent dans l’esprit de l’agroécologie. La volonté de ses encadrants est d’insérer l’association dans le tissu social local. Et Pourquoi Pas ? agit au niveau de projets locaux, nationaux et internationaux en partenariat avec différentes associations.

    L’association est située en Haute-Loire, Auvergne. Pour nous contacter : Cunes - 43380 - Blassac tél : 04 71 74 10 22
    email : contact@etpourquoipas43.org


    site : www.etpourquoipas43.org

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