Pour ceux qui habitent dans le coin :

questionnaire :

:https://docs.google.com/…/1SqBOYHzAG_ZUK0ZkK-MBUh…/viewform…

Germaine Tillion entre au Panthéon

Le 21 février 2014 au Mont-Valérien, l’entrée au Panthéon de Germaine Tillion a été officialisée par le Président de la République, qui a souhaité rendre hommage à des personnes éminentes ayant pris une part active dans la Résistance.

Geneviève de Gaulle-Anthonioz, Jean Zay et Pierre Brossolette sont les trois autres résistants à faire leur entrée dans le temple républicain.

Germaine Tillion (1907 – 2008) était originaire d’Allègre (Haute-Loire). Après des études à l’Ecole du Louvre, à la Sorbonne et à l’Ecole Pratique des Hautes Etudes où elle suit les enseignements du sociologue Marcel Mauss considéré comme le père de l’anthropologie française, Germaine Tillion se consacre à l’ethnologie. Sur recommandation de son professeur, elle rejoint en 1934 l’Institut International des Langues et des Civilisations Africaines, basé à Londres, qui lui confie une mission de recherche en Algérie. Elle y fera quatre séjours pour étudier l’ethnie berbère des Chaouias.

Un parcours de résistante

Après la Débâcle, elle entre dans la Résistance et fonde dès 1940 l’un des premiers mouvements, le Réseau du Musée de l’Homme. Dénoncée, elle est déportée à Ravensbrück en octobre 1943 avec sa mère qui décède dans le camp en 1945.

Pendant sa détention, elle compose « Le Verfügbar aux enfers », une opérette qui sera présentée pour la première fois en 2007 au Théâtre du Châtelet à Paris.

Une vie d’engagement

Après la guerre, elle continue de militer pour les droits de l’homme. C’est ainsi qu’en 1951, Germaine Tillion participe à la création de la Commission internationale contre le régime concentrationnaire, qui dénonça l’existence des goulags en URSS.

Une mission d’observation la ramène en Algérie en 1954 où sévit la guerre d’indépendance. Elle s’engage au côté du peuple algérien en soulignant sa paupérisation et en révélant la pratique de la torture.

Elle s’impliqua également dans des mouvements militant pour l’émancipation des femmes.

Germaine Tillion est l’une des rares femmes à être Grand-Croix de l’ordre de la Légion d’Honneur, récompense qu’elle a reçue en 1999.

Germaine Tillion a également été faite Citoyenne d’Honneur de la Région Auvergne en 2007. (Source : http://www.auvergne.fr/content/germaine-tillion-pantheon)

La LPO (Ligue de Protection des Oiseaux) a développé un programme original consistant à protéger la faune et la flore via l’engagement des particuliers et des collectivités.

La condition première est d’adhérer au premier réseau des jardins écologiques de France, le Refuge de la LPO. Quatre grands principes régissent la Charte du Refuge :

1. Créer les conditions propices à l’installation de la faune et de la flore sauvage, en aménageant par exemple des lieux favorables au maintien et au développement de la biodiversité.
2. Renoncer aux produits chimiques et préférer les techniques manuelles pour l’aménagement du refuge.
3. Réduire son impact sur l’environnement par le recyclage des déchets ménagers et l’utilisation raisonnable des ressources naturelles, comme l’eau.
4. Bannir la chasse pour protéger la biodiversité. S’impliquer personnellement pour faire interdire la chasse dans l’espace du refuge.

Les personnes intéressées par cette action durable peuvent utiliser leur jardin comme refuge ou leur balcon si elles vivent en ville. Un coffret contentant un nichoir qui doit être assorti d’une mangeoire, est remis à chaque créateur de refuge.

Pour plus d’informations, consulter le site : www.lpo-auvergne.org

Photographie : Christian Fargeix

Le BIEF d'Ambert a son site et c'est ici :

http://www.lebief.org/

Retour de la conférence :

Delphine Bardon est une personne sympathique, ouverte et à l'écoute... Vous me direz que c'est le minimum syndical que l'on exige d'une professionnelle de la communication...

Le contenu de la conférence était clair, illustré d'exemples du quotidien et interactif...

Il y a été questions des enfants, des bébés et des adolescents et de leur capacité ou non à intellectualiser des concepts abstraits que nous les adultes leur bassinions.

Il y a été question d'une autre forme de relation avec l'autre à l'écoute du verbal et du non verbal (ce que véhicule son propre corps et le corps de l'autre, sa gestuelle...)

Il y est surtout question de bienveillance, du respect de l'autre dans ce qu'il est aujourd'hui, dans l'instant présent...

Des pistes à explorer mais pas de méthodes prêtes à l'emploi...

Rafraichissant...

Cette conférence est suivie de 3 ateliers qui se dérouleront au mois de juin, la première est le 02 à 20 heures.

Les renseignements :

L'association Lilominots à Ambert :

Point Service Associations et Communication
3 Rue de Goye
63 600 AMBERT

06.95.28.91.65 (Camille)

lilominotsambert@free.fr